North Italian, circa 1600 | Italie du Nord, vers 1600

Private collection, Belgium

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Collection privée, Belgique

Related Literature / Références bibliographiques

J. Warren, Sculptures in Metal, Medieval and Renaissance Sculpture in the Ashmolean Museum, t. I, Oxford 2014, pp. 180-185, no 48.

Die Beschwörung des Kosmos. Europäische Bronzen der Renaissance, exh. cat. Wilhelm Lehmbruck Museum, Duisburg, 1994-1995, p. 140-141, no 54.

Natur und Antike in der Renaissance, exh. cat. Frankfurt Liebighaus, 1985/1986, pp. 408-409, no 102.

W. Bode, J. Draper, The Italian Bronze statuettes of the Renaissance, New York, réed. 1980, pl . LXXXVI.

Trois versions de notre Hercule ivre sont connues dans des musées, dont l'un au Bargello à Florence (inv. no. I.N.2420), un autre au Museo Estense à Modène (cf. W. Bode/J. Draper, op. cit. pl. LXXXVI, 1), et un dernier à l'Ashmolean museum d'Oxford (cf. J. Warren, op. cit. , no 48). L'Ivresse d'Hercule dérive d'un modèle antique décorant les sarcophages, et sous forme de bronzes de petit format, comme l'exemplaire au British Museum, au Metropolitan ou au musée archéologique à Naples, ainsi qu'une version en marbre à Wilton House (H. 93 cm). Le plus exemple de ce modèle reste le bronze antique conservé au musée archéologique de Parme. Comme dans ce dernier bronze, Hercule est représenté penché en arrière, tenant une massue, et parfois une coupe à boire dans l'autre main. On retrouve la même attitude dans une fresque de Giulio Romano, illustrant Hercule et le serpent, en 1520 au Palazzo del Té à Mantue.