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JEAN GIRAUD (1938-2012) Blueberry - Tome 14 L'homme qui valait 500 000$ Planche 34
Estimate
20,000 - 25,000 EUR
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Description
- JEAN GIRAUD
- Blueberry - Tome 14 L'homme qui valait 500 000$ Planche 34
- Encre de Chine sur papier
- 49,5 x 38,5 cm
Dargaud - 1973
La souplesse d’un encreur d’exception doublée du talent d’un dessinateur de génie ! Voici une planche d’une qualité extraordinaire, extraite de L’homme qui valait 500.000 $, la suite de Chihuahua Pearl, l’un des cycles les plus réussis de la saga du lieutenant Blueberry. Giraud est au plus près des visages, captant à la fois, les trognes et la lumière à travers un geste d’une grâce absolue. Le pinceau se fait souple lorsqu’il le faut et les hachures viennent remplir le dessin, le nourrir de l’intérieur pour amener le supplément d’âme. La grande case prédominante dans la deuxième moitié de la planche permet en outre de mesurer le talent de metteur en scène de Jean Giraud. Spectaculaire, mettant en vedette la trop rare Chihuahua Pearl, elle se distingue aussi par la présence imposante du laquais noir, symbole d’un passé encore très proche dans les États du Sud. Malgré une mise en avant et un encrage plus appuyé, il n’arrivera pour autant pas à voler la vedette à la belle Chihuahua.
La souplesse d’un encreur d’exception doublée du talent d’un dessinateur de génie ! Voici une planche d’une qualité extraordinaire, extraite de L’homme qui valait 500.000 $, la suite de Chihuahua Pearl, l’un des cycles les plus réussis de la saga du lieutenant Blueberry. Giraud est au plus près des visages, captant à la fois, les trognes et la lumière à travers un geste d’une grâce absolue. Le pinceau se fait souple lorsqu’il le faut et les hachures viennent remplir le dessin, le nourrir de l’intérieur pour amener le supplément d’âme. La grande case prédominante dans la deuxième moitié de la planche permet en outre de mesurer le talent de metteur en scène de Jean Giraud. Spectaculaire, mettant en vedette la trop rare Chihuahua Pearl, elle se distingue aussi par la présence imposante du laquais noir, symbole d’un passé encore très proche dans les États du Sud. Malgré une mise en avant et un encrage plus appuyé, il n’arrivera pour autant pas à voler la vedette à la belle Chihuahua.