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Jorn, Asger -- Guy Debord
Estimate
6,000 - 7,000 EUR
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Description
- Jorn, Asger -- Guy Debord
- Fin de Copenhague. Copenhague, Edité par le Bauhus Imaginiste, mai 1957.
- Ink on paper
In-8 (247 x 168 mm). Broché. Couverture gaufrée réalisée dans un flan d'imprimerie.
Édition originale. Compositions en couleurs d'Asger Jorn, sur des collages de Guy Debord, "conseiller technique pour le détournement".
Tirage limité à 200 exemplaires imprimés au Danemark (n° 24).
Exemplaire signé.
Un de livre révolutionnaire du XXe siècle, issu de la collaboration des plus importants fondateurs de l'Internationale Situationniste. Utilisant la technique du dripping, Jorn éclaboussa de manière aléatoire deux plaques, imprimées en dégradés de couleurs ; réalisée dans des flans d'imprimerie d'un journal danois, la couverture, différente pour chaque exemplaire, est une grande nouveauté. Le titre, Fin de Copenhague, peut s'entendre comme la fin de Cobra.
"La collaboration de Guy Debord à Fin de Copenhague, petit livre spontané fait en vingt-quatre heures, a été plutôt remarquée : les effets s'en sont répandus avec une étonnante vitesse, en quelques mois, parmi les spécialistes du livre d'art et de la typographie, en Amérique et en Europe. Ce rayonnement d'influence n'a pas cessé de s'enchaîner depuis" (G. Berréby, Textes et documents situationnistes, 1957-1960, Allia, p. 96).
Exemplaire d'une grande fraîcheur.
Édition originale. Compositions en couleurs d'Asger Jorn, sur des collages de Guy Debord, "conseiller technique pour le détournement".
Tirage limité à 200 exemplaires imprimés au Danemark (n° 24).
Exemplaire signé.
Un de livre révolutionnaire du XXe siècle, issu de la collaboration des plus importants fondateurs de l'Internationale Situationniste. Utilisant la technique du dripping, Jorn éclaboussa de manière aléatoire deux plaques, imprimées en dégradés de couleurs ; réalisée dans des flans d'imprimerie d'un journal danois, la couverture, différente pour chaque exemplaire, est une grande nouveauté. Le titre, Fin de Copenhague, peut s'entendre comme la fin de Cobra.
"La collaboration de Guy Debord à Fin de Copenhague, petit livre spontané fait en vingt-quatre heures, a été plutôt remarquée : les effets s'en sont répandus avec une étonnante vitesse, en quelques mois, parmi les spécialistes du livre d'art et de la typographie, en Amérique et en Europe. Ce rayonnement d'influence n'a pas cessé de s'enchaîner depuis" (G. Berréby, Textes et documents situationnistes, 1957-1960, Allia, p. 96).
Exemplaire d'une grande fraîcheur.