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Iliazd (Ilia Zdanevitch, dit) -- Ania Staritsky
Estimate
1,200 - 1,800 EUR
bidding is closed
Description
- Iliazd (Ilia Zdanevitch, dit) -- Ania Staritsky
- Un de la brigade / Brigadnyj. Paris, Hélène Iliazd, 1982.
- paper
In-4 oblong, en feuilles, couverture imprimée, chemise rempliée en vélin, étui toilé de l’éditeur.
Edition originale, illustré de 6 gravures originales sur cuivre par Ania Staritsky tirées en bleu. Mise en page de Staritsky. Texte de la traduction en français par Guillevic, avec le fac-similé à l’encre bleue du manuscrit d’Iliazd.
Un des 10 exemplaires nominatifs sur Japon ancien non annoncés à la justification, tirés en plus du tirage annoncé de 25 et quelques exemplaires, celui-ci justifié A, imprimé pour le prince Gleb Eristoff, signé par Guillevic, avec un envoi d’Hélène Iliazd.
Ce long poème écrit en russe est inspiré par la guerre d’Espagne. "Les blessures russes sont peut-être cicatrisées mais la plaie espagnole est toujours béante. Elle m’a retourné vers la poésie et j’ai commencé à écrire Brigadnyj." (Iliazd, p. 64).
Edition posthume, faite par l’épouse d’Iliazd, du le manuscrit de 200 vers qu’Iliazd avait confié en 1943 à son ami le prince Gleb Eristioff, Géorgien émigré comme lui. "Tu es mon seul lecteur", avait-il dit au prince en lui donnant son manuscrit, "Je te dirai quand je penserai que le moment est venu pour le faire publier." (Ibid.) Cette édition fut faite "en souvenir de l'auteur" en 1982 par Hélène Iliazd, qui en a offert le présent exemplaire à l’ami de son époux.
Références : Iliazd. Paris, Centre Georges Pompidou, 1978, p. 64. — A. Isselbacher, Iliazd and the Illustrated Book, New York, Moma, 1987.
Provenance : Hélène Iliazd, puis prince Gleb Eristoff (envoi).
Edition originale, illustré de 6 gravures originales sur cuivre par Ania Staritsky tirées en bleu. Mise en page de Staritsky. Texte de la traduction en français par Guillevic, avec le fac-similé à l’encre bleue du manuscrit d’Iliazd.
Un des 10 exemplaires nominatifs sur Japon ancien non annoncés à la justification, tirés en plus du tirage annoncé de 25 et quelques exemplaires, celui-ci justifié A, imprimé pour le prince Gleb Eristoff, signé par Guillevic, avec un envoi d’Hélène Iliazd.
Ce long poème écrit en russe est inspiré par la guerre d’Espagne. "Les blessures russes sont peut-être cicatrisées mais la plaie espagnole est toujours béante. Elle m’a retourné vers la poésie et j’ai commencé à écrire Brigadnyj." (Iliazd, p. 64).
Edition posthume, faite par l’épouse d’Iliazd, du le manuscrit de 200 vers qu’Iliazd avait confié en 1943 à son ami le prince Gleb Eristioff, Géorgien émigré comme lui. "Tu es mon seul lecteur", avait-il dit au prince en lui donnant son manuscrit, "Je te dirai quand je penserai que le moment est venu pour le faire publier." (Ibid.) Cette édition fut faite "en souvenir de l'auteur" en 1982 par Hélène Iliazd, qui en a offert le présent exemplaire à l’ami de son époux.
Références : Iliazd. Paris, Centre Georges Pompidou, 1978, p. 64. — A. Isselbacher, Iliazd and the Illustrated Book, New York, Moma, 1987.
Provenance : Hélène Iliazd, puis prince Gleb Eristoff (envoi).