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Flaubert, Gustave
Estimate
6,000 - 8,000 EUR
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Description
- Flaubert, Gustave
- Madame Bovary. Paris, Michel Lévy frères, 1871.
- paper
2 volumes in-12 (184 x 115 mm). Bradel demi-percaline tabac avec coins de l'époque, couverture (Durvand).
Rousseurs légères mais nombreuses. Le plat inférieur de la couverture du tome I est en partie coupé. Coiffes un peu froissées.
Nouvelle édition reprenant la pagination de l'originale parue chez Michel Lévy en 1857 avec la faute à Senard corrigée de t en d.
Exemplaire de Nadar avec, sur le faux-titre, cet envoi autographe signé : "A Nadar, avec une forte poignée de main, son G. Flaubert ".
En janvier 1872, certainement pour le remercier de cet envoi, Nadar lui adresse son ouvrage A terre et en l'air... Mémoire d'un "Géant(ballon monté de 45 mètres de haut crée et dirigé par Nadar en 1863), paru chez Dentu en 1865, avec cet envoi : "A Gustave Flaubert qui a écrit Bovary -- et le reste -- admiration très sympathique, Nadar".
En 1869, Nadar avait réalisé un portrait photographique de Flaubert alors que ce dernier se montra toute sa vie assez photophobe. Les seuls à pouvoir le photographier furent Carjat, Ferdinand Mulnier et Nadar. "Il n'existe de moi aucun portrait. Chacun a sa toquade : la mienne est de me refuser à toute image de ma personne" (lettre à Jean-Bernard Passérieu, Croisset, 18 juin 1877).
Rousseurs légères mais nombreuses. Le plat inférieur de la couverture du tome I est en partie coupé. Coiffes un peu froissées.
Nouvelle édition reprenant la pagination de l'originale parue chez Michel Lévy en 1857 avec la faute à Senard corrigée de t en d.
Exemplaire de Nadar avec, sur le faux-titre, cet envoi autographe signé : "A Nadar, avec une forte poignée de main, son G. Flaubert ".
En janvier 1872, certainement pour le remercier de cet envoi, Nadar lui adresse son ouvrage A terre et en l'air... Mémoire d'un "Géant(ballon monté de 45 mètres de haut crée et dirigé par Nadar en 1863), paru chez Dentu en 1865, avec cet envoi : "A Gustave Flaubert qui a écrit Bovary -- et le reste -- admiration très sympathique, Nadar".
En 1869, Nadar avait réalisé un portrait photographique de Flaubert alors que ce dernier se montra toute sa vie assez photophobe. Les seuls à pouvoir le photographier furent Carjat, Ferdinand Mulnier et Nadar. "Il n'existe de moi aucun portrait. Chacun a sa toquade : la mienne est de me refuser à toute image de ma personne" (lettre à Jean-Bernard Passérieu, Croisset, 18 juin 1877).