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Barbey d'Aurevilly, Jules
Estimate
1,500 - 2,000 EUR
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Description
- Barbey d'Aurevilly, Jules
- 2 lettres autographes signées.
A Armand Hayem : "Mon cher Armand. Pas de diner chez vous, ce soir. 1ère |souligné 4 fois] représentation à la comédie Française ! J'aurais bien diné chez vous. Je dinerai mal chez Pailleron qui me fera manger de sa paille. à vous, - et pas assez à vous. Jules Barbey d'Aurevilly". 1 page in-12 à l'encre rouge, en-tête "Never more" et enveloppe.
Homme de lettres (sous le pseudonyme de Victor Sem) et conseiller général de Seine-et-Oise, Armand Hayem était un ami très proche de Barbey avec lequel il échangea une correspondance abondante jusqu’à son suicide en 1890. Sa fille Harlette, filleule de Barbey, épousa Fernand Gregh (ami et condisciple de Marcel Proust au Lycée Condorcet).
A Louis de Fourcaud, au sujet d'un article de son ami Léon Bloy, qu'il aimerait voir publié dans Le Gaulois. "Pouvez-vous user de votre influence au Gaulois pour y faire passer un article d'un homme que j'aime & que vous avez aimé ?... C'est Léon Bloy. - Il a bâtonné Pontmartin au nom de l'honneur de la Sainte Église, pour laquelle vous avez été zouave. Bloy est un zouave aussi et vous rappelle que vous en avez été un... Féval pour lequel il a bâtonné Pontmartin est un ami de votre rédacteur en chef, M. Blavet."
2 pages in-12, à l'encre noire et rouge, en-tête "Never more" et fragment d'enveloppe avec le nom du destinataire, "au Gaulois", à l'encre violette.
Homme de lettres (sous le pseudonyme de Victor Sem) et conseiller général de Seine-et-Oise, Armand Hayem était un ami très proche de Barbey avec lequel il échangea une correspondance abondante jusqu’à son suicide en 1890. Sa fille Harlette, filleule de Barbey, épousa Fernand Gregh (ami et condisciple de Marcel Proust au Lycée Condorcet).
A Louis de Fourcaud, au sujet d'un article de son ami Léon Bloy, qu'il aimerait voir publié dans Le Gaulois. "Pouvez-vous user de votre influence au Gaulois pour y faire passer un article d'un homme que j'aime & que vous avez aimé ?... C'est Léon Bloy. - Il a bâtonné Pontmartin au nom de l'honneur de la Sainte Église, pour laquelle vous avez été zouave. Bloy est un zouave aussi et vous rappelle que vous en avez été un... Féval pour lequel il a bâtonné Pontmartin est un ami de votre rédacteur en chef, M. Blavet."
2 pages in-12, à l'encre noire et rouge, en-tête "Never more" et fragment d'enveloppe avec le nom du destinataire, "au Gaulois", à l'encre violette.