PF1212

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Lot 59
  • 59

panneau en micromosaique, Rome, vers 1800

Estimate
10,000 - 15,000 EUR
bidding is closed

Description

  • panneau en micromosaique, Rome, vers 1800
  • hardstone, gold, glass micromosaic
  • Diam. de la tabatière 7,5 cm ; 3 in
rond, décoré d'un chien de chasse bordé d'entrelacs, serti dans une tabatière de jaspe brun marbré, la monture en or par Mathias Roger, Paris, 3e titre et garantie, 1819-1838

circular, inlaid with a seated hound within interlaced borders, set into the lid of a gold-mounted mottled brown jasper snuffbox, the mounts, Mathias Roger, Paris, 3e titre et garantie, 1819-1838

Catalogue Note

Mathias Roger insculpa son premier poinçon en 1800 à l'adresse du 2 rue Greneta, Paris, et une seconde fois, à la même adresse en 1817, pour la tabatière : garniture et tabletterie. Il est également mentionné comme tablettier et spécialiste de garnitures de tabatières et de tabletterie par Douet et autres almanachs contemporains. Nocq et Grandjean supposent tous deux que Roger venait d'une dynastie d'orfèvres parisiens, notamment de l'orfèvre d'Alexis Roger, et de Jacques (parfois Jean) Roger, également mentionnés rue Greneta dans les années 1780 et 1790.


Mathias Roger insculpa son premier poinçon en 1800 à l'adresse du 2 rue Greneta, Paris, et une seconde fois, à la même adresse en 1817, pour la tabatière : garniture et tabletterie. Il est également mentionné comme tablettier et spécialiste de garnitures de tabatières et de tabletterie par Douet et autres almanachs contemporains. Nocq et Grandjean supposent tous deux que Roger venait d'une dynastie d'orfèvres parisiens, notamment de l'orfèvre d'Alexis Roger, et de Javques (parfois Jean) Roger, également mentionné rue Greneta dans les années 1780 et 1790. 

Mathias Roger entered a first mark from 2 rue Greneta, Paris, in 1800, and a second from the same address in 1817 for ‘la tabatière : garniture et tabletterie’. He also appears as a tablettier and specialist in ‘garnitures de tabatières et de tabletterie’ in Douet and the various almanacs of the time. Both Nocq and Grandjean suspected that Roger came from a dynasty of Parisian goldsmiths including the boxmaker Alexis Roger, with a particular connection to Jacques (sometimes called Jean) Roger who is also recorded as working in the rue Greneta in the 1780s and 90s.